Sa couleur de peau devrait lui interdire de penser…
Pour certains, il est insupportable qu’une personne d’origine africaine pense par elle-même indépendamment de leur logiciel unique « Noir = victime, Blanc = oppresseur ». Leur racisme, extrêmement inquiétant, est minimisé, voire nié. Cela suffit !

Trop, c’est trop ! Il faut croire que les leçons de l’Histoire n’ont jamais été apprises par des esprits bêtes à faire peur. Sur l’altimètre, ils oscillent entre la pâquerette insignifiante et le cul-de-basse-fosse sordide.
Soutien de Zemmour, Tanguy David est Noir. Ce qui devrait n’être qu’une donnée objective est devenu pour certains ratés en quête de sens un alibi suffisant pour déverser des tombereaux de déjections twittesques authentiquement racistes sur un homme, leur semblable (si j’ose dire, cela fait insulte à Tanguy).
Ce qu’ils attendaient de lui ? Qu’il soit un bon « nègre de maison » et pense comme ils voulaient qu’il pense : « Moi pauvre Noir victime du méchant Blanc, moi pas responsabilité, moi tout subir et ne rien décider ». Le bon Noir Banania, c’est eux qui le maintiennent en vie pour s’en plaindre après.
Ce qu’il a fait ? Il a pensé par lui-même, et a pensé différemment. Peu importe que l’on soit d’accord avec Tanguy ou non : le débat démocratique dans ce pays consiste à opposer des arguments si l’on pense autrement.
Pour les esprits débiles qui l’insultent, « frotter et limer nostre cervelle contre celle d’aultruy » est une phrase bien compliquée pour dire « coup de boule ». Ce sont des ratés incapables de la moindre éducation ; des idiots utiles follement (c’est le mot) désireux d’impatroniser leur vision raciste, simpliste, binaire et manichéenne du monde. Pour eux, le mot même de débat ne signifie rien. Ils crachent leur venin raciste, ne connaissent que la force, et se sentent d’ailleurs forts.
Trop d’antécédents ! Où sont les SJW du racisme ?
Ce n’est pas la première fois : souvenez-vous de l’affaire Pepita ! Du policier Noir traité de « vendu » parce que Noir ! De Mia ! Et, plus loin, de ces milliers de filles (voire fillettes) violées au Royaume-Uni, Rotherham et Telford en tête ! De la dérive des campus américains ! La liste est interminable, les cas se multiplient. Pourtant, ce qui se passe est grave.
Alors, disons les choses clairement. La plupart des « antiracistes » n’en sont pas. Ils sont en fait prompts à dégainer uniquement si un auteur de faits racistes est Blanc, ou si une personne « issue de la diversité » ne pensent pas comme ils aimeraient. En revanche, lorsque le raciste présumé est justement « issu de la diversité », ils évoluent en confucéens convaincus : ils ne voient pas, n’entendent pas, ne disent rien. Et si la pression médiatique devient trop forte, c’est à peine s’ils nous gratifient d’un tweet minable de type « gneu gneu condamner fermement« , « inacceptable« , ou se souviennent subitement de la présomption d’innocence.
Des crétins malléables qu’on utilise
Tous deviennent les crétins utiles de l’islamisme, du racisme authentique, de la division et de la haine, cette éternelle compagne de l’Homme. Ces gens veulent dominer et se venger des occidentaux. Pour cela, ils ont besoin d’asservir mentalement les personnes « issues de la diversité ». Voilà pourquoi ils ramènent chacun à sa couleur de peau : c’est leur stratégie pour arriver au pouvoir. Leurs armes sont connues : harcèlement démocratique, encombrement judiciaire, victimisation outrancière et non fondée, intimidation sociale, pression médiatique relayée par des médias faussement encanaillés.
L’Occident est leur allié objectif : il culpabilise mais croit toujours que sa religion droits-de-l’hommiste est la seule vérité universelle. Il s’excuse mais refuse qu’un Noir ou un Arabe (les Asiatiques, il s’en fout, ça fait pas peur) revendique son autonomie intellectuelle et sociale, sa liberté de penser, d’aimer, de respecter et d’être respecté. Il baisse son froc en permanence, et trouve cela supérieur moralement.
Cela fait des victimes ; le racisme revient au galop. Mais parce que ses militants se qualifient « d’antiracistes », on s’en fout. C’est criminel. Samuel Paty et des milliers d’autres cas en témoignent. Le racisme étant universel et multidirectionnel, l’antiracisme doit l’être aussi. Sinon, « antiracisme » n’est qu’un prête-nom au racisme dur, rétrograde, arriéré. Et notre indifférence causera notre perte morale et sociale.