Les Dijonnais ont vu pendant 4 jours des centaines de personnes défiler en ville, armes de guerre à la main. Ils ont entendu des coups de feu tirés et assisté à un règlement de compte entre individus violents et nombreux.
Armes de guerre, organisation, nombre : on parle là de bataille ou de guérilla.
Mais pour Le Figaro, ce sont juste des « tensions ». Encore un bel euphémisme !
Non non, on parle bien d’un État faible et invisible et d’individus lourdement armés. Ne vous y trompez pas.