France : la guerre est déclarée

L’attentat de Nice est une énième preuve de ce que certains s’obstinent à ne pas voir : la guerre est déclarée à la France et aux Français. L’ennemi prend la forme d’une alliance de Français de papier et d’agents étrangers présents illégalement sur le territoire hexagonal. Tous sont désireux d’imposer leurs moeurs et leur religion. Ne plus voir est criminel.

Devant Notre-Dame de Nice, le vendredi 29 octobre 2020 (Reuters / Éric GAILLARD)

Les faits : une deuxième décapitation en quelques semaines

Des moeurs barbares s’installent en France depuis des dizaines d’années, avec la bénédiction d’un certain nombre « d’élites » politiques, culturelles, médiatiques. Mais le summum de l’horreur a été une nouvelle fois atteint, avec une deuxième décapitation à l’arme blanche en deux semaines. Dans la matinée du jeudi 29 octobre, un sauvage a tué 3 personnes au cri de « Allah Akbar » au coeur de l’église Notre-Dame de Nice.

Si Dieu est grand, les hommes qui agissent en son nom sont petits et misérables.

Il n’y a pas d’actes isolés : c’est un phénomène appelé « guerre civile »

Qualifier ce nouvel attentat d’acte isolé, comme certains ne manqueront pas de le faire dans les prochaines heures, est criminel. Quand des millions d’Européens font moins d’enfants, nous parlons naturellement de « phénomène de dénatalité ».

Mais quand des milliers d’hommes défient nos lois, notre État, agressent nos concitoyens, systématiquement au nom de la même religion, nous nous drapons dans une pudeur de gazelle pour ne pas nommer le phénomène. Des milliers d’actes isolés dont les auteurs et les victimes ont le même profil forment un phénomène. Et ce phénomène a un nom lorsqu’il est à l’oeuvre contre un pays : la guerre civile.

Dans la nature, le lion mange la gazelle ; jamais l’inverse.

En temps de guerre, il faut prendre des mesures de guerre…

Emmanuel Macron a beau jeu d’employer une rhétorique guerrière contre un virus : un virus n’est pas en guerre, n’a pas conscience de la guerre, ne peut mener une guerre. Les hommes, si.

Le chef de l’État doit maintenant déclarer l’état de guerre face à l’Islam radical. Il doit endosser son costume de chef des Armées et mobiliser toutes les capacités de notre pays : déploiement de l’armée sur le territoire, création de lois et de juridictions d’exception, formation d’une Garde nationale composée de citoyens volontaires.

Il doit le faire en se gardant des tentations du despote.

Il doit le faire en ne punissant pas tous les citoyens pour éviter de punir une catégorie coupable de personnes, tactique habituelle du pouvoir pour noyer le poisson.

… face à ceux qui choisissent d’être des monstres et à leurs alliés objectifs

Quand des hommes commettent des actes si ignobles, ils deviennent des monstres et se mettent, par leurs crimes, hors de l’humanité. La culture de l’excuse ne tient plus.

Ceux qui ne voient que la religion ou l’origine de l’agresseur, ceux qui trouveront des excuses, ceux qui écriront des articles pour prouver que l’animal qui a fait ça était un « voisin discret«  et « disait bonjour » sont coupables. Coupables de tromper l’opinion en montrant le cas particulier, l’isolant artificiellement du phénomène de civilisation dont il est un maillon.

Mais la Constitution française de 1958 donne au Président de la République des pouvoirs conséquents pour protéger la France et ses citoyens, et punir ceux qui lui portent gravement atteinte (articles 5, 15 et 16 notamment).

Le Code pénal est également très clair sur les conséquences en matière de trahison (art. 411-1 et s.), d’attentat et de complot (art. 412-1 et s.), d’usurpation de commandement, de levée de forces armées et de provocation à s’armer illégalement (art. 412-7 et s.), d’atteintes à la sécurité des forces armées et aux zones protégées intéressant la défense nationale (art. 413-1 et s.).

L’homme ne sait pas faire durer la paix

Ce constat, celui de la nécessité de mener la guerre, est terrible. Il résonne comme un aveu d’échec, cinglant et cyclique. Civilisation après civilisation, époque après époque, l’humanité dans son ensemble prouve qu’elle est incapable d’évoluer vers un monde de paix durable.

Mais ce poids ne doit pas empêcher la lucidité : aujourd’hui, la bienveillance consiste à prendre les armes et à mener la guerre asymétrique que l’on nous déclare. Une guerre de guérilla, avec des attaques isolées mais multiples ; une guerre stratégiquement difficile à mener.

La guerre au nom de la bienveillance, pour éviter que d’autres victimes soient sacrifiées sur l’autel de cette haine déguisée en religion. Nous en sommes là. Ces lignes absurdes sont pourtant bien réelles. L’aveuglement ou la collaboration, quelles qu’en soient les raisons, sont désormais une forme de haine : elles légitiment des centaines de meurtres toujours plus violents et aux desseins de plus en plus assumés.

Il est temps de lutter contre l’ennemi, avec au coeur un idéal de paix et de justice, et non pas une haine revancharde.

Françaises, Français, exhortez l’État à agir. Nous sommes en première ligne : notre premier protecteur doit maintenant jouer son rôle.

La guerre est déclarée.

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